• l'olivier * 
• On ne peut pas tout dire * 
• un dimanche ordinaire * 
• correspondants * 
• de dents * 
• transparence * 
• le point dans le monde * 
• contre la guerre * 
• Surdi 13 * 

"Tu viens de partir après être passée me voir une fois ton intervention terminée dans la salle de travail de l'Escoub.... 

...

Le temps est vraiment une notion illusoire et vivre vingt ans comme Olivier, ou plus, il n'y a guère de différence."

J'ai pleuré
Oui j'ai pleuré en lisant le message de Cathy et je ne sais pas trop pourquoi ? J'ai eu du mal à progresser dans la lecture et d'aller jusqu'au bout tellement j'étais ému. 
Probablement ce deuil qui n'est jamais terminé et de retrouver,  en en parlant,  toutes ces émotions vieilles de bientôt dix sept ans,  les réactive à coup sûr. Je sentais comme la présence d'Olivier  au milieu de nous. 
J'en connais "des qui" nous diront que c'est inutile et qu'il vaut mieux aller faire la vaisselle ou planter un olivier ;  pourquoi pas ? Mais comme l'écrit Cathy " la richesse amenée par les autres est inestimable" même si c'est dans l'incompréhension qui peut nous faire avancer, et ce serait dommage de s'en priver si les autres impératifs nous en laisse la possibilité ! Car nous touchons, je crois, à l'essentiel de ce qui nous fait vivre, le relationnel et l'affectif. (voir "nos enfants") 

Parmi les correspondants

• J'écris à Marie : 

<< … Bérangère se demande  si elle va se décider à venir jusqu'ici pour les vacances de Février. A moins que ce soit toi qui vienne du Canada ? 
Moi je vous aime et vous apprécie chacune d'une façon différente et loin de moi la pensée de chasser l'une pour rassurer l'autre au risque d'être jeté par les deux. 
sur le sujet du couple voir un article de Monique Ayoun : "L'amour fissionnel"
 
• Et à Geneviève, sans succès,  je tente un fax : "Mistral" 
• parmis les autres qui cherchent à échanger en me demandant de me présenter : 

<< Bonjour Monik !
Je fais un site qui voudrait répondre à cette question et en même temps il me sert d'archives pour communiquer avec mes correspondants.
Merci de me dire vos impressions si vous y allez faire un tour et alors vous pourrez me parler de vous. 
 
• Lula Date : 05/01/03 

Bonsoir Eduardo !
… Que dites vous là bas de votre nouveau président ?
"Le nouveau président s'est ensuite adressé à la foule du balcon du palais présidentiel du Planalto, pour rendre hommage aux luttes de la gauche brésilienne qui ont permis son accession au pouvoir, déclarant: "Je ne suis 
pas le résultat d'une élection, je suis le résultat d'une histoire". (AFP) 

• du Congo, un appel à échanger. Je réponds : 

<< L'idée de correspondre avec un médecin congolais me convient très bien car j'aime beaucoup les africains (j'ai des amis au Sénégal) et les événements de ces derniers temps dans vos pays ne sont pas très rassurants. N'avons nous pas une certaine responsabilité , nous occidentaux dans les causes profondes de vos souffrances ? J'espère vous trouverez un équilibre qui vous conduira vers la paix et l'union pour la prospérité du continent. 
 
• de Madagascar : des nouvelles avec de jolies photos de Eric Belvaux (de l'association Papyrus) 

Le Top des villes où l'on vit le mieux (AOL) : Le nouveau classement des villes de France "où l'on vit le mieux" réserve quelques surprises.

J'admire le style de Bruno Frappat qui évite pourtant d'écrire à la première personne et qui aborde avec un grand bon sens les problèmes de société. Je suis convaincu que l'expression personnelle de nos pensées, de nos émotions, plus que de nos actions, est essentielle à l'équilibre de notre vie affective. 
Alors qu'on le fasse par écrit, par téléphone ou de vive voix peu importe pourvu que ce soit dans un esprit d'amour. (bM)

Un dimanche ordinaire

20h 30 Je viens de rentrer après une journée bien remplie. 
A la maison d'abord ce matin pour garder les deux petits derniers du bas (et je n'ai pas chômé car ils ne vous laissent guère vous concentrer sur l'ordinateur). Heureusement que j'ai des petits programmes qui les passionnent et notamment les vidéos que j'ai prises avec mon appareil. Une petite satisfaction d'amour propre en retour, Tommy, qui n'a pas encore deux ans lui, le lendemain matin, choisissait nettement d'aller avec Grand père plutôt  qu'avec sa mère ! 
Ensuite,  déjeuner avec Thérèse *et Matthieu. Il est bien occupé à l'édification de sa clôture sur son terrain, (voir   projet salle et les photos) alors qu'Anne Françoise était à Lyon pour sa formation en fascia. Pendant la sieste des enfants et de Thérèse ... j'ai pu classer mes dossiers (sur l'ordinateur). Puis il y a eu l'anniversaire de Jeanne qui a été bien gâtée par sa maman et son papa Julien revenu pour l'occasion, de ses "chantiers" ! 
Encore du travail en perspective avec les photos et pages à faire * ! 
En allant reconduire Thérèse chez elle nous nous sommes arrêtés au cinéma * pour voir un des morceau de la trilogie de Belvaux "Un couple épatant". Mon impression est mitigée car l'intérêt ne me semble pas soutenu. Des histoires rocambolesques à dormir debout (et j'en ai profité ... assis, c'est encore mieux) avec un scénario tout bête et qui sent le réchauffé. Mais là n'est pas le problème, car c'est souvent avec la vie de tous les jours qu'on peut faire les meilleurs films. Mêmes hystériques, les acteurs sont bons mais il n'aurait pas fallu que ça traîne encore. Je ne sais pas si j'irai voir les deux autres exemplaires ? 

Les bébés Kangourou
A Marie : << Que d'application ! Ton texte-message est parfait ! Tu deviens une véritable écrivain ! 
J'ai beaucoup apprécié le style et le contenu du fichier joint envoyé par ta fille sur ton petit fils Charlie. C'est en effet émouvant et elle a bien raison de le coucouner. Je trouve aussi que porter son bébé à la façon des kangourous et l'allaiter tant que c'est possible est la meilleure façon de lui donner une bonne vitalité et une sécurité dont il a besoin. 

Les graviers 
Pour moi je vais très bien ! Merci ! 
La France est sous la neige * parait il mais ici c'est bon. Il fait seulement un petit froid sec qui me permet d'exécuter quelques travaux dehors. J'étale des graviers sur le chemin d'entrée ; ce qui n'a l'air de rien mais demande un fond et des aptitudes de cantonnier que je dois aller chercher dans une de mes vies antérieures probablement.
J'ai promis à Thérèse de passer lui fêter son anniversaire à l'atelier de peinture mais tu as bien fait de me le rappeler. Bon "ptidej" 

Le cochon
La neige est arrivée le vendredi matin vers quatre heures alors que la famille du bas s'engageaient  sur la route vers le Cantal pour aller chez leurs amis "tuer le cochon". 
C'est devenu un rituel pour Matthieu. Tous les ans il fait le voyage emmenant toute sa famille profiter du grand air et des pistes à luge ou ski de fond du Massif Central alors qu'il participe à la mise à mort traditionnelle du cochon élevé pendant l'année. Au retour on remplit les congélateurs de cochonaille. 

De dents ou dehors ?
30/01/03 16:14 Sylvie : << …Je suis à nouveau "détruite" par cette horrible opération des dents 

Cette phrase me fait faire des cauchemars Syvie chérie !
Et pour les leçons, il y a longtemps que tu en as tiré le maximum. Il serait temps d'en terminer. Tu n'as jamais eu "la dent dure" mais ce serait peut être opportun d'y arriver...
Tu sembles être la victime expérimentale de ces savants orthodontistes qui se font de l'or, en plus, sur ta gentille personne.
Heureusement que tu ne me demandes pas de conseil car je serais bien en veine de t'en donner ... ou de te proposer des solutions. Je trouve que les prothèses ce n'est pas si mal et on ne souffre plus. Mais tu n'en es plus là ! Et ça ne vaut pas de bonnes dents de lait... 
Quand on voit la pêche que tu peux avoir dans tes spectacles, te voir martyrisée de la sorte est inhumain.
A demain et bises tout plein !

"Ça fait tout drôle d'être démasqué, déshabiller mais je m'y fait ; d'autant plus que Marie m'a fait le même coup avec le dossier Bérangère il y a quelque temps. Au moins la transparence a le mérite de mettre à jour les faces cachées de la personne et peut être de la rendre humaine.
Je préfère que l'on m'aime ou qu'on me déteste pour ce que je suis dans ma réalité plutôt que de laisser voir seulement les aspects qui pourraient me valoriser ."