Connaissez-vous Roger ? 

Il est serveur dans une ville de banlieue. Il est toujours de bonne humeur et a toujours quelque chose de positif à dire. Quand on lui demande comment il va, il répond toujours: "Si j'allais mieux que ça, nous serions deux : mon jumeau et moi !"
A son travail il a une nature motivante et enthousiaste pour les autres. Quand un collègue va mal, Roger est toujours là pour lui faire voir le bon côté des choses.
 

Curieux, je suis allé voir Roger un jour pour lui demander: "Je ne comprends pas. Il n'est pas possible d'être toujours positif comme ça, partout, tout le temps. Comment fais-tu ?"
Et Roger de répondre: "Tous les matins à mon réveil, je me dis qu'aujourd'hui, ou je choisis d'être de bonne humeur, ou bien de mauvaise humeur. Et je choisis toujours la bonne humeur. Quand il arrive quelque incident déplorable, ou je choisis d'en être la victime, ou bien je choisis d'en tirer une leçon. Quand quelqu'un vient se plaindre à moi, ou je choisis d'entendre sa plainte, ou bien j'essaie de lui faire voir le bon côté de la chose." "Mais ce n'est pas toujours si facile", lui dis-je.
Et Roger d'enchaîner : "La vie, c'est une question de choix. On choisit sa façon de réagir aux situations. On choisit de quelle façon les autres peuvent nous influencer ou non. On choisit d'être de bonne humeur ou de mauvaise humeur. On choisit de vivre sa vie de la manière qui nous convient le mieux."

Plusieurs années plus tard, j'apprends que Roger a commis une imprudence : il a laissé déverrouillée la porte arrière du restaurant un bon matin et il s'est fait surprendre par trois voleurs armés. Un des bandit a paniqué et a tiré.
Heureusement pour Roger, les choses n'ont pas traînées et il a été vite transporté à l'hôpital. Après dix-huit heures de chirurgie et des semaines de soins intensifs, Roger a pu enfin quitter l'hôpital.
J'ai revu Roger six mois après l'incident et je lui ai demandé comment il réagissait à tout ça. "Si j'allais mieux que ça, dit-il, nous serions deux : mon jumeau et moi. Tu veux voir les cicatrices ?"
Je n'ai pas voulu voir la blessure mais je lui ai demandé ce qui lui était passé par la tête au moment du vol. Et Roger de dire: "La première chose qui m'est venue à l'idée c'est que j'aurais du fermer à clé la porte arrière du restaurant. Et puis, étendu sur le plancher après avoir été abattu, je me suis souvenu que je pouvais encore faire un choix : vivre ou bien mourir. Et j'ai choisi de vivre."
 

"T'as pas eu peur ?" lui dis-je. Et lui de répondre: "Les ambulanciers n'ont pas cessé de me dire que tout allait bien. Mais en entrant dans le bloc opératoire de l'hôpital, j'ai bien vu les têtes des médecins et des infirmières et, là, j'ai eu peur. J'ai vu dans leurs yeux que j'étais un homme mort et j'ai su que je devais réagir très vite."

"Et alors, qu'as-tu fait ?" "Eh bien, mon ami, il y avait une grosse infirmière qui me bombardait de questions, elle voulait savoir si j'étais allergique à quelque chose. J'ai dit oui, et les médecins et les infirmières se sont arrêtés pour écouter. J'ai pris une profonde respiration et je leur ai dit que j'étais allergique aux balles de revolver. 

Quand ils ont eu cessé de rire, je leur ai dit que j'avais fait le choix de vivre et qu'ils feraient mieux de m'opérer comme si j'étais un homme vivant plutôt qu'un homme mort !"

Roger a survécu grâce à des médecins experts, mais aussi grâce à son attitude étonnante ! 

J'ai appris de lui que, tous les jours, nous devons faire des choix : ou bien profiter pleinement de la vie ou bien s'y emmerder tant qu'on veut. La seule chose qui nous appartienne et que personne ne peut ni contrôler, ni nous enlever, ce sont nos attitudes. Alors, quand on peut cultiver des attitudes positives, tout devient positif.

Les hommes c'est comme l'essence :
Des pieds à la ceinture c'est du super, de la ceinture aux épaules c'est de l'ordinaire et des épaules à la tête c'est du sans plomb.

"C'est un monsieur qui rentre d'un voyage d'un mois et tout heureux de retrouver sa petite amie lui fait l'amour comme il faut et très bruyamment.
À ce moment le voisin, frappe au mur en criant: 
C'est tous les jours maintenant... "

Comment être sûr d'énerver sa femme quand elle vous surprend avachi dans le fauteuil et lorsqu'elle vous demande "qu'est ce que tu regardes" ? Il faut repondre : la poussière

Deux hommes : 
- Tu vois la brune là-bas ? C'est ma femme. Et la blonde là-bas c'est ma maîtresse.
- Et bien moi c'est le contraire.

Un petit garçon demande à son père : 
"- Papa, quand je suis venu au monde, qui m'a donné mon intelligence ?" 
"- C'est sûrement ta mère, car moi, j'ai encore la mienne !"

Qu'est ce qu'un homme qui a perdu son intelligence ?
Un veuf !

Pourquoi les hommes portent-ils des cravates ?
Parce qu'ils auraient quand même l'air un peu idiot avec des laisses!!
 
 

Un journaliste interviewe une star d'Hollywood qui a eu une vie très agitée :
"- combien de maris avez-vous eus ?
Elle hésite un instant et répond :
- Y compris les miens ?"

Un mari dit à sa femme pendant qu'ils sont très occupés... : 
- Dis-moi chérie, tu pourrais me le dire quand tu auras un orgasme ?
- Mais chéri, tu ne veux quand même pas que je t'appelles au travail !

Un type rentre chez lui et dit à sa femme :
"- Je reviens de la pêche aux moules et je suis tout moulu !
- Heureusement que tu n'es pas allé à la pêche aux coques !"

Un type rentre chez lui furax.
" - Tu me trompes je le sais ! Alors combien d'amants t'as eu depuis qu'on est mariés, hein ? Et ne crois pas que je vais me laisser faire !
Il va dans la cuisine, s'ouvre une bière et, un peu penaud, revient voir sa femme.
- Excuse-moi, j'étais énervé je ne savais plus ce que je disais .
Sa femme reste silencieuse.
-Excuse-moi je te dis... Ecoute tu vas pas faire la tête, je te dis que je me suis emporté.
Sa femme lève la tête : 
- Je ne fais pas la tête, je compte !!!!"

C'est un couple qui discute.
L'homme demande :
- Chérie, si je tombais à l'eau, tu viendrais à mon secours ?
Sa femme repond :
- Et si je repondais oui, tu sauterais ?