04 02 Nostalgie * Comme un vrai terrien... * Qu'adviendra t il de cette idée originale : * "Oser le risque" * A l'atelier "Ecriture" * 07 02 Dîner avec Josette * Echanges avec Luce * Dormir * 10 02 Spectacle "le Maître de danse" * Question de : * Je reprends la lettre de Luce. * Jean Gricourt * Un séjour à Framiso du 21 au 25 02 * 28/02/01 Neige *
04 02 Nostalgie * Comme un vrai terrien... * Qu'adviendra t il de cette idée originale : * "Oser le risque" * A l'atelier "Ecriture" * 07 02 Dîner avec Josette * Echanges avec Luce * Dormir * 10 02 Spectacle "le Maître de danse" * Question de : * Je reprends la lettre de Luce. * Jean Gricourt * Un séjour à Framiso du 21 au 25 02 * 28/02/01 Neige * 04 02 Nostalgie * les dangers du virtuel * Comme un vrai terrien... * Qu'adviendra t il de cette idée originale : * "Oser le risque" * A l'atelier "Ecriture" * 07 02 Dîner avec Josette * Echanges avec Luce * Dormir * 10 02 Spectacle "le Maître de danse" * Question de : * Je reprends la lettre de Luce. * Jean Gricourt * Un séjour à Framiso du 21 au 25 02 * 28/02/01 Neige * 04 02 Nostalgie * Comme un vrai terrien... * Qu'adviendra t il de cette idée originale : * "Oser le risque" * A l'atelier "Ecriture" * 07 02 Dîner avec Josette * Echanges avec Luce * Dormir * 10 02 Spectacle "le Maître de danse" * Question de : * Je reprends la lettre de Luce. * Jean Gricourt * Un séjour à Framiso du 21 au 25 02 * 28/02/01 Neige * 04 02 Nostalgie * Comme un vrai terrien... * Qu'adviendra t il de cette idée originale : * "Oser le risque" * A l'atelier "Ecriture" * 07 02 Dîner avec Josette * Echanges avec Luce * Dormir * 10 02 Spectacle "le Maître de danse" * Question de : * Je reprends la lettre de Luce. * Jean Gricourt * Un séjour à Framiso du 21 au 25 02 * 28/02/01 Neige * 04 02 Nostalgie * Comme un vrai terrien... * Qu'adviendra t il de cette idée originale : * "Oser le risque" * A l'atelier "Ecriture" * 07 02 Dîner avec Josette * Echanges avec Luce * Dormir * 10 02 Spectacle "le Maître de danse" * Question de : * Je reprends la lettre de Luce. * Jean Gricourt * Un séjour à Framiso du 21 au 25 02 * 28/02/01 Neige * 04 02 Nostalgie * Comme un vrai terrien... * Qu'adviendra t il de cette idée originale : * "Oser le risque" * A l'atelier "Ecriture" * 07 02 Dîner avec Josette * Echanges avec Luce * Dormir * 10 02 Spectacle "le Maître de danse" * Question de : * Je reprends la lettre de Luce. * Jean Gricourt * Un séjour à Framiso du 21 au 25 02 * 28/02/01 Neige * |
J'ai bien reçu par fax vos 3 pages bien nostalgiques. Tout en regardant "Un air de famille" (avec Agnès Jaoui et JP Bacri) à la télé, sur F2. Je lis dans La Vie un commentaire d'une émission qui a été présentée aujourd'hui : "Les dangers du virtuel" sur France 2. Certains de mes correspondants seraient ravis de voir écrit ou défendu le fait que le "mythe de fraternité planétaire" lié aux technologies virtuelles est fallacieux.... l'approche est faussée... c'est en approchant l'autre réellement que l'on perçoit sa différence... a contrario, esquivant les obstacles sociaux, culturels, religieux, la communication via l'ordinateur rejette l'altérité. Conclusion : le virtuel escamote le réel qu'il était sensé enrichir. ... Ma compagne, la petite grenouille verte est grimpée sur les
tiges supérieures de la canne à sucre qui se développe
devant la vitre de mon bureau de travail. Elle me nargue tout en s'acharnant
à vouloir attraper les moucherons qui viennent se coller de l'autre
côté de la vitre, attirés par la lumière. Elle
doit confondre, elle aussi, le réel et le virtuel !
…que je me donne l'illusion d'être, j'ai entrepris avec le beau temps aujourd'hui, les travaux d'hiver : protection des arbres fruitiers contre les maladies, préparer la terre des plates bandes afin de l'enrichir en vue des prochaines plantations. A cet effet, au grand air, l'utilisation du motoculteur me fait trouver en moi des ressources énergétiques comme si j'étais encore jeune… Il me faudra encore couper à la tronçonneuse quelques branches des arbres qui ont pris trop d'importance et qui risquent d'étouffer le voisinage. Avec ses un an et demi, Joanna est à l'âge où elle recherche volontiers la compagnie de son grand père qui de son côté, est ravi de prendre du temps avec elle. Des petites touches de lecture, de jeu de ballon, de roulades sur la pelouse, autant de gestes que je pense n'avoir pas assez exécutés avec mes propres enfants il y a une trentaine d'années. Un autre point de vue serait que j'en ai plus besoin aujourd'hui qu'à cette époque. Le lundi soir nous avons instauré un rituel : les enfants "dînent
chez grand père". Le soleil couché, ils prennent le bain
et viennent faire la fête "la haut" pour manger la soupe et les préparations
toujours impromptues du cuisinier poéte… Une petite larme pour Jean-Philippe,
le tonton mythique, qui bien loin à Munich maintenant, ne peut plus
en profiter comme avant et doit sans doute se contenter de ses pâtes
traditionnelles.
Qu'adviendra t il de cette idée originale : << Une entreprise propose de fabriquer un matériau de construction moins cher et plus performant que le béton en utilisant des farines animales. Ses responsables, qui ont présenté lundi leur projet à la presse dans un centre d'expérimentation près d'Aix-en-Provence, affirme pouvoir écouler entre une et deux tonnes de farines animales par heure en fabriquant des parpaings en "béton phénolique". Le procédé pourrait, selon ses inventeurs, constituer une alternative, moins coûteuse en subventions pour le gouvernement, à l'incinération des farines actuellement présentée comme "la meilleur valorisation de ces produits" grâce à la production d'énergie. >> ? 06 02 Françoise me propose de mettre en page un texte d'un auteur inconnu mais que je m'approprierais volontiers: Sourire, c'est prendre le risque de paraître ridicule. Pleurer, c’est prendre le risque de paraître sentimental. Tendre la main vers l’autre, c’est risquer de s’impliquer. Montrer ses sentiments, c’est risquer de montrer son soi. Etaler ses idées devant la foule, c’est risquer de les perdre. Aimer, c’est risquer de ne pas être aimé en retour. Vivre, c’est risquer de mourir. Espérer, c'est risquer le désespoir. Essayer, c’est risquer l’échec. Mais les risques doivent être courus, parce que le plus grand risque dans la vie, c’est de ne rien risquer. La personne qui ne risque rien, ne fait rien, n'a rien, n'est rien. Quelqu'un qui veut éviter la souffrance et le chagrin ne peut apprendre à ressentir, à changer, à grandir, à aimer, à vivre. Enchaîné par les certitudes, l’individu est un esclave qui a renoncé à la liberté Seul l’individu qui risque est vraiment libre.
Comme la peinture à l'eau… Plus facile, plus rapide Que la peinture à l'huile Ou la bicyclette.
L'épine d'une rose Oh, quelle horrible chose ! Douleur à haute dose.
J'avais communiqué quelques pages à Josette qui a tenu à venir m'en parler. Je l'ai retenue à dîner. J'ai bien apprécié sa démarche qui me permet de présenter mes textes et les mettre à la portée du lecteur en prenant plus de précautions. Je suis souvent tenté de dévoiler ce qui n'est pas "convenable". Je risque alors de froisser, peiner, voire scandaliser et mettre à distance qui craindrait de reconnaître ce qu'on est sensé ignorer. C'est tout un équilibre à trouver entre dire, écrire
avec intérêt et rester discret.
09 02 Anne Françoise m'ayant donné un agenda 2001 (sur "la vigne") J'ai trouvé que c'était une bonne surprise à faire que de souhaiter la fête aux Jacqueline de ma connaissance. A savoir l'ancienne présidente de Cantabile et Jacqueline Laurier. Un message sur répondeur aurait fait mon affaire. Le cas s'est présenté pour la première mais il a fallu que je rassure la deuxième qui se demandait ce qui lui arrivait. Je ne l'avait pas recontactée depuis la mort de son époux Pierre (j'ai écrit à ce sujet en 97)… et de plus en bonne "parpaillote" elle n'avait aucune conscience de sa fête ! Elle ne s'était jamais inquiétée de savoir à quelle époque de l'année elle se rattachait. Je ne me suis pas trop étendu, la laissant sur sa surprise… De mon passage chez les Laurier je retiens un détail : une petite affiche dans les toilettes demandait aux utilisateurs des WC de bien vouloir utiliser la balayette pour frotter le fond de la cuvette après chaque usage de façon à éviter les dépôts de calcaire qui à la longue font mauvais effet. C'est une précaution nécessaire quand il faut entretenir les fosses sceptiques en évitant d'utiliser les produits détergents qui anéantissent la faune naturelle et produisent des engorgements qu'ignorent les installations avec tout à l'égout direct. Je reçois en courrier postal une lettre (1,2, 3,4) de Luce. (Elle aussi était en relation avec Pierre et Jacqueline... ) << Je recopie pour toi quelques pages de mon carnet…(1)>>dit elle. J'en suis ému, étonné. C'est vraiment un procédé que j'ignore totalement à l'époque des photocopies, scanner, émail ou fax. De plus je reviens volontiers sur mes textes pour les compléter les corriger les transformer mais jamais pour les recopier. J'aimerais reprendre quelques passages de sa lettre ! << Lorsque Marc s'exprime dans ses écrits.. il ne s'adresse "même pas" à quelqu'un de précis… >> Peut-être ! mais c'est toujours pour d'éventuels destinataires et au bout de la démarche je trouve, selon les sujets abordés, des lecteurs que j'imagine intéressés par ma prose. Et lorsque ces derniers (ou dernières) me retournent leur propre expression je suis comblé. Heureux quand le correspondant est satisfait et se dit concerné, triste lorsque je me vois condamné. Différence de méthode : Luce "adresse son travail" moi je travaille et l'adresse ensuite. J'en suis certainement le premier bénéficiaire mais si personne ne me lisait je n'écrirais pas. Luce dit encore : << Quand Marc écrit, il est seul et il se parle à lui même. >> Oui mais c'est pour mieux en partager ensuite. Dans un premier temps il y a l'exposé du sujet, la force de l'écrit dans un deuxième temps il y a la création à deux ou à plusieurs comme j'ai eu le bonheur de le faire avec certaines personnes. Il arrive que par écrit la rencontre se fasse dans une profondeur qui n'existe pas dans l' entrevue des personnes physiques : paradoxalement, le jour où nous nous sommes rencontrés avec ma correspondante par Internet, intime et régulière trois années durant, la relation s'est terminée. L"étrangeté" par écrit contrebalance l'intensité de la réunion physique… Mes idées se bousculent. J'aurais encore d'autres point à examiner je le ferai avec Luce par téléphone mais personne d'autre ne pourra en profiter ! Je suis de garde, j'ai jardiné à en être fourbu ce soir mais content et disponible. Joanna est vraiment une petite fille facile à endormir.
Le fait de perdre conscience est toujours pour moi une merveilleuse aventure. Que je m'endorme en fin de journée ou pour quelques minutes lors d'une sieste en mi journée, je m'arrête alors de vivre sur cette terre et accède au monde du rêve. Rien d'extraordinaire ! me direz vous ! Il me semble pourtant que je rejoins le monde des âmes et qu'en me réveillant je me retrouve comme neuf, prêt pour une nouvelle vie. Le bénéfice de la sieste est de nous faire renaître
une deuxième fois dans la journée. Les proches de Sylvie
ont pu remarquer ce moment qu'elle se ménage quelques soient ses
activités et son programme par ailleurs. Une nécessité,
dit elle. Une particularité qui lui donne, semble t il, de garder
un œil ouvert sur l'au delà.
10 02 Spectacle "le Maître de danse" Hier je parlais de la fameuse sieste de Sylvie. Je communique sa réponse qui confirme mes réflexions et elle donne ses impressions sur son spectacle d'hier. << Sieste Petit papa, J'ai beaucoup aimé ton texte sur la sieste, je vais l'imprimer, l'encadrer et l'afficher chez moi pour les personnes qui ne comprennent pas bien ce temps que je m'offre. Il est exacte que c'est un moment où je quitte cette réalité et où mon corps se ressource d'une manière incroyable. L'état d'inconscience au pays des rêve est en même temps de plus en plus conscient : je pourrais exactement décrire les sensations et le voyage que je fais pendant cette demi-heure que je m'offre. C'est à peux près toujours le même et je sais que quand le parcours est fait, je peux me relever, nettoyée de ma fatigue, toute neuve pour affronter le reste de la journée. Sans ce moment de repos devenu indispensable pour moi, je reste fatiguée, tendue et en grande perte de lucidité. Merci encore pour t'être déplacé hier soir pour me soutenir. C'est toujours très éprouvant un spectacle et c'est important d'avoir des personnes que l'on connaît dans la salle : c'est rassurant, on peut s'appuyer sur leur présence. Ca a été difficile pour moi hier. Le public était très discret, presque pudique, la salle trop grande, et je n'arrivais pas à capter ses émotions, je n'avais pas de retour et je n'arrivais pas à savoir si les gens accrochaient ou pas. Du coup, j'ai eu un peu l'impression de me démener toute seule dans mon coin ! >> Je lui réponds ceci : << Ma chérie ! Tu n'as sans doute pas beaucoup dormi cette nuit car je trouve ton courrier au petit jour et Thierry me dit que vous avez mangé une fondue après le spectacle... Je me rend compte maintenant que tu as pu trouver la salle difficile car il y avait effectivement beaucoup de monde qui t'attendait. Je m'explique ainsi qu'après un contact dynamique du fond de la salle ton enthousiasme semblait baisser au fur et à mesure que tu te rapprochais de la scène. Tu avais pourtant en mains, à ce moment un personnage exceptionnel que tu as su reprendre (avec plus ou moins de bonheur) tout au long du spectacle et ce jusqu'à la fin (une nouveauté et une bonne trouvaille). C'était dans l'ensemble un grand moment ! J'étais émerveillé de tes prouesses. Plus de temps morts consacrés aux changements de costume. Tu as su rester en contact avec le public et garder le lien avec tes personnages. Tes transformations sont impressionnantes et notamment pour ta voix qui apparaît maintenant comme un point fort. Peut-être encore quelques améliorations à faire dans la diction (bien que derrière le paravent, même, le texte passe bien) et encore dans le rythme de tes exhibitions de façon à ne pas essouffler le spectateur avec toi. Bravo et bonne continuation ! >> <<... Il y avait un acheteur dans la salle qui va nous faire jouer à Pertuis et à Beaumont de Pertuis. Tout le monde avait l'ai content. On me conseille pour le prochain spectacle de faire une histoire sans texte pour affirmer encore plus le jeu corporel : je vais tenir le défi ! Seras-tu là mardi soir pour garder Yaël ? Je l'amènerai vers 17 h 30, et si c'est possible j'emprunterai ta voiture rouge pour aller à mon cours : la nôtre sera au garage et Thierry aura donc besoin de la Renault. Gros bisous et à mardi. >> << OK pour la voiture ! et... si tu veux aussi mes chaussures... j'irai pieds nus en courant ! Bravo pour le contrat ! Pour l'histoire sans texte tu pourras peut être alors ajouter un petit commentaire du personnage MDD ? J'ai passé l'après midi jusqu'à 18h15 enfermé dans une église à travailler un concert pour le mois de Juin. C'était éprouvant ! Je me sauve dès la fin de la répétition pour retrouver mon jardin et mon ordinateur mais le soleil est alors bien couché. Je ne me suis pas encore fait de vrais amis dans cette chorale. C'est
vrai que mes interventions en faveur d'une certaine justice ont été
mal ressenties et on me regarde comme un sujet redoutable et sauvage, j'imagine.>>
Oui, moi aussi, j'aime bien ton texte sur la sieste me dit Thérèse. En lisant ton message, hier soir, je me suis fait la remarque qu'il se décomposait en plusieurs parties : 1) demande de nouvelles actuelle : anodin et personnel, 2) communication de tes réflexions sur la sieste : de portée générale, peut intéresser n'importe qui, 3) commentaires de Sylvie sur la sieste: intéressants pour qui la connait, mais un peu trop personnels pour être mis en pâture, 4) échanges sur la dernière prestation de Sylvie au théâtre : intéressant pour qui connait ou a vu la pièce. Comment vas-tu organiser et classer ces textes ? -ThM- >> << Ouah ! Thérèse ! Je ne suis plus habitué (de ta part et je blague !)) à un tel intérêt pour ma correspondance ! Et Merci des nouvelles que tu me donnes des vacances d'Hélène. C'est écrit avec des détails colorés qui agrémentent le texte en le rendant vivant. Ainsi Juliette "qui est en nage parcequ'elle n'aime pas l'eau" il fallait le faire ! (voir dossier "Famille") Pour répondre à ta question : Je fais des dossiers pour chacun de mes correspondants et je les
archive. En les présentant bien ils peuvent servir de référence
et je les laisse à leur disposition. Je reprends les détails
qui m'interpellent pour les commenter dans mon journal et je mets celui
ci sur Internet avec une adresse spécifique. Je la communique aux
personnes qui s'y intéressent. Maintenant si d'aventure certains
correspondants voulaient utiliser à leur tour tel ou tel passage
j'en serais valorisé mais ce n'est pas ce que je recherche.>>
Je reprends la lettre de Luce. Je m'étais promis de l'appeler au téléphone ; ce que j'ai fait mais comme pour me confirmer que ce n'est pas le moyen idéal de communication je ne suis pas arrivé à la contacter. J'aime beaucoup son style qui suit une idée et passe à une autre selon l'environnement. Elle aussi, écrit son journal comme pour développer ses conceptions sur la vie. Qu'elle me communique ses pensées me plaît beaucoup car je retrouve ce que je tente de faire par Internet. Sans aller jusqu'à l'intensité de la rencontre entre les personnes le web permet la communication rapide par écrit et la présentation de dossiers ou documents. Que sont "mes récriminations sur les autres"(p2) ? Luce semble en avoir gros sur le cœur de ce qu'elle voudrait changer et qu'elle tente de faire seule ! Pour ma part, dans mes confrontations, avec mes correspondants et avec mes interlocuteurs à partir de mes écrits, j'ai appris à modérer mes aspirations et à moduler mon expression pour la rendre plus précise. J'aimerais lire ou entendre la réponse de Luce à la question qu'elle se pose (p3) : "Que faire lorsque je me sens agressée" ? Elle écrit encore (p4) : "Ouf ! cela va être une relation plus authentique plutôt que rupture". Je vais donc m'empresser de lui envoyer par la poste ce qui m'est venu. 13/02/01 << Bises a+ Continue à nous tenir informé. David >> Bien ! Je vais donc continuer à vous tenir informés de ce que j'imagine peut vous intéresser. J'ai perçu dans le courrier de David des petites pointes de colère ou du moins de dévalorisation. C'est pour cette raison que j'ai appelé. En même temps je recevais une réponse que je n'attendais plus de JPhi. Il se dit débordé et qu'il n'a jamais été autant absorbé par le travail. C'est trop triste pour un jeune homme si plein de santé qui se promettait de profiter de la vie sans "s'en faire" !
Puisque tout le monde diffuse en ce moment des virus débiles... Attention trois nouveaux virus risquent d'endommager vos fichiers : 1/ le premier se nomme "grévisse"
et s'attaque exclusivement à vos fichiers word ( *.doc, *.wps ,
*.txt ) : il ocupe un aispace de 112Kb, et à la particularitei de
modifié le contenue de vos texte en i ageoutan des fôtes de
franssais. Il peux se auci k'ill transfaurme la seintaxe de qui vos phrases
avaient faits. Atenssion donk prudanse : n'ouvrir pas le fichier grévice.con
Il s'incruste dans vos textes de merde , y ajoute des injures d'un bordel pourri d'une rare grossierté. Il a la taille d'une grosse bite. Il peut causer des dommages
de pompe à cul : imaginez une lettre de rappel à un de vos
fils de pute de clients, agrémentés "de nom de Dieu de saloperie
en réponse à votre putain de merde d'e-mail... etc" Alors
vous avez tous pigé tas de connards : n'ouvrez pas fucky ou.exe
Oui ! Thérèse vient de nous annoncer la mort de Jean, hier dans la journée. J'appellerai Odile ce soir. Ici, nous restons bien proches par la pensée. 16/02/01 Dans la journée, j'ai fait l'aller et retour à Trémont pour participer aux obséques. J'écris à Florence qui l'a soigné pendant sa maladie. 22h30 Hello Florence ! Me voici de retour à la maison.
(Je n'ai pas eu de réponse à mes questions.) J'ai demandé à Alain de me communiquer l'adresse du site de Michèle sur le domaine de Trémont. Et toi le tien ? Le lendemain matin je reprends encore contact avec la famille : Jean et le domaine de Trémont << Bonjour Michèle ! J'ai pu ouvrir le site du domaine de Trémont et je le trouve joliment présenté. domaine de Trémont Bravo ! J'ai trouvé que la cérémonie hier, pour les obsèques de Jean était émouvante de simplicité. Cette belle terre de Trémont et de Plottes sur son cercueil ! Il repose au calme. Bonne continuation !
Dimanche 18 02 A Marseille au château d'If. Avec Bérangère et Lambert, nous nous sommes joints aux familles et enfants d'ici, Lahens et Delenne pour aller à Marseille et en bateau visiter le château d'If . Pour eux c'était une façon de remplacer leur séjour à la montagne. Il faisait beau mais frais ... ! sympa mais j'ai trouvé (comme Yaël que nous avions emmenée) que c'était bien long d'attendre le bateau qui tardait à revenir nous chercher. "Bérangère ne parle pas et je suis bien frustré d'échanges intéressants." (Bérangère a trouvé cette phrase dévalorisante et m'a demandé de la retirer. Je me suis exécuté un moment puis je l'ai remise par honêteté personnelle, ne trouvant pas d'autre moyen d'exprimer mon dépit. Elle semble fâchée depuis...) Heureusement, ce soir, une petite visite , c'était Colette qui avait mal au genou et tentait de se faire soulager. Je l'ai traitée mais sans trop d'espoir de succès mais en me retrouvant dans la situation des années 80 au temps où nous faisions connaissance alors que je lui rééduquais le pied. Elle s'intéresse à ce que j'écris et le temps, avec elle, passe très vite. 20 02 Prêt à partir ! Je vais donc prendre quelques jours de vacances …
Un séjour à Framiso du 21 au 25 02 Arrivés le samedi B & L s'installent 3 jours à l'Escoub. Après mes activités du mardi matin nous embarquons pour arriver à Framiso à l'heure du thé. Le mercredi grand branle bas je prends l'initiative d'aller faire un tour aux Orres avant les courses au supermarché pour le séjour. Bérangère s'excite pour faire faire du ski à Lambert qui n'est pas vraiment fana. "Il n'a pas été bien guidé" dira t elle. Elle aurait souhaité (sans rien me demander comme d'habitude) que je le prenne en mains tout en supervisant les opérations. Elle ne se voyait pas faire du ski toute seule et ne pouvait pas s'empêcher d'intervenir, car rien ne vaut une maman pour guider les premiers pas de son petit (qui n'en avait rien à tirer). Malheureusement je n'ai pas marché dans cette magouille et c'est moi qui suis allé faire quelques descentes les laissant tous les deux se débrouiller. Rentré à la maison j'ai exposé que le ski ne s'apprenait pas dans les livres et qu'il fallait faire ses expériences au risque de quelques chutes (sans doute très humiliantes) . L'apprentissage s'est terminé là. Le lendemain nous avons profité du soleil et de la montagne mais à pieds. Les pistes de Réallon n'ont pas tenté Lambert les jours suivants. Nous sommes sous la
neige d'hier.
Je m'accroche à mon ordinateur en alternant succès et échecs. L'informatique est une source inépuisable de surprises, bonnes ou mauvaises. Il en est de même pour la messagerie. Je suis transporté quand je reçois un signe d'amitié, une marque de confiance, ou encore une expression sentimentale qui peut me toucher et aussi m'affecter négativement. Ma présentation du séjour à Framiso n'a pas semblé transporter d'aise Bérangère qui attend tout de moi en restant bien enfermée sur elle même. Les pigeons blancs ont bien du mal à se repérer dans ce milieu de neige mouillée. C'est "la soupe". Les cousins en vacances se sont vite lassés de cette neige fondante. Quelques jonquilles (ou narcisses) cherchent à relever la tête. Le dépaysement de la semaine dernière m'a poussé à dévorer quelques lectures en retard. Je suis encore sous le charme des non violents ( ANV (non violence) et des considérations pleines d'espoir de P. Frémeaux sur les chances d'une nouvelle économie (capitaliste et sociale). A ce sujet, une nouvelle communication de G Magnier sur les OMC apporte une nouvelle pierre à cette lutte économique pour la justice. dossier Sida (dernière) Thérèse C a retrouvé sa place dans mon dos, sur
le divan de mon bureau alors que les enfants ont envahi les pièces
libres de la maison.
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