Film : "Intimité" * Insomnies. * Balade du 22avril : Calanque de Méjean, * La St Georges * Les Bitterlin * La fin du mois * Textes à ouvrir avec Word 97 :
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Dans un courrier daté du 04/04/01 georges.magnier
<< Heureux grand père, tu en es à combien ? je viens de faire connaissance avec ma 9° qui est née en Guadeloupe. >> Qu'il est loin le temps où j'avais aussi un
grand père Georges !
Et de le grand mère Geneviève, tu ne m'en dis rien ? Chez nous le 7ième va arriver en juin et ici dans la maison. Je suis bien entouré et souvent sollicité. Je reçois aussi un premier courrier de François Marchand : << Ta perception de mes certitudes et sur mes convictions de posséder seul la vérité, m'interroge. Ce n'est pas ce que je pense. Ci joint mon article sur " apprendre à relativiser" paru dans la Croix. Affectueusement. >> |
Grande journée : Stage de yoga
07 avril
Je me suis retrouvé
animateur de stage comme "dans le temps"
Nous étions quinze dans la salle de l'Escoubaïre. Au programme "Do-in", yoga avec Roseli qui nous a proposé des torsions et triangles (sous différents angles...), déjeuner.
Le mauvais temps ne nous a pas permis de nous installer dehors. J'ai donc invité tout le monde pour le café autour d'un feu de cheminée.
Le soleil s'est enfin montré mais nous avions repris les ateliers à l'intérieur. Présentation du livre de S.Pastor et initiation au Corps énergétique après un "brain storming" autour du symbolisme des chiffres et des contines (de quoi qu'y a un ?… ) Enfin la relaxation dite coréenne qui utilise l'apport technique d'un partenaire. Nous avons travaillé, (quel vilain terme pour le sujet qui reçoit les interventions avec béatitude !) dans la bonne humeur.
L'association Yoga Lubéron
avait quelques invités que nous ne voyons pas habituellement aux
séances de yoga. Le groupe a semblé ravi de vivre des sensations
inhabituelles et agréables. Doris, la présidente, entourée
de tout le groupe s'est cru un instant, montée au ciel.
Projet de statuts sur la vie à L'Escoubaïre
voir : "statuts et donation"
En résumé :
Je ne sais pas s'ils ont fini par retrouver la Belgique car, début mai, je n'ai toujours pas de réponse.
Ainsi l'autre jour nous étions avec Matthieu sur le toit de la maison pour vérifier l'état des tuiles qui ont tendance à se casser ou à glisser. Des moisissures inquiétantes dans la salle de bain nous posent problème.
C'est à ce moment que la petite famille, revenant des courses, descend de voiture et s'esclaffent du spectacle inhabituel : le papa debout sur le faîte de la maison. Pour assurer son succès Matthieu étend les bras en imitant le Corcovado de Rio de Janeiro. Une leçon de géographie sur le vif !
Joanna (bientôt 20 mois), très fière de ses petites couettes, déambule d'une façon très particulière. Prenant un air concentré ou rêveur, elle parcourt le jardin pour examiner la pousse des plantes, les deux mains cherchant à se rejoindre dans le dos. Malheureusement ses bras sont trop court, alors retournant les mains, elle les posent sur ses fesses. Qu'à cela ne tienne dira sa mère "elle imite Grand père".
La venue prochaine du quatrième pose quelques problèmes d'adaptation. Les filles sont nerveuses et cherchent à conserver leur place auprès de la maman qui répond de bonne grâce dans la mesure de ses possibilités. Il y a encore de la place sur le dos…
Elle doit s'asseoir assez souvent. Joanna se précipite alors pour se nicher à côté du futur bébé la tête confortablement installée sur de bons coussinets.
Témoin, aujourd'hui, de certaines explications orageuses, je m'interroge sur les incidences qu'elles peuvent avoir sur la "relation". La détériorer ou l'entretenir ?
Dans le passé, j'ai pu tenter d'enrayer une détérioration de notre vie du couple en provoquant des explications parfois houleuses. Mes enfants ont intégré ma peur et semblent m'avoir ressenti comme agressif.
Présentement, depuis que Jean Noël n'est plus ici je ne me mets plus en colère.
Après une bonne journée en plein air (à vrai dire je n'ai pas besoin d'aller bien loin pour profiter du vent, du soleil et de la nature) je rentre un peu fourbu. Mon jardin en a profité mais j'ai perdu aussi du temps et de l'énergie à réparer les dégâts causés par le glissement d'une dalle en pierre installée comme décor dans l'un des bassins.
Les petits enfants étaient dehors pendant qu'il faisait doux mais le vent froid s'est de nouveau levé.
Pour quand les pluies du 25 avril ? (voir
avril 95)
<< …dont la voiture a été percutée par une autre…… + Sous la violence du choc, le véhicule des cinq jeunes est parti en vrille et s'est enflammé. Trois des occupants de la voiture ont péri carbonisés, les deux autres ont été tués après avoir été violemment éjectés. ..>>
Notre incident majeur du 22 avril 01
C'était l'intervention quasi chirurgicale opérée
sur la personne de William qui s'était coincée une perle
dans le nez.
Malgré nos efforts dans la journée, nous n'avions pas
réussi à l'en déloger. Allions nous aller aux Urgences
pour cette affaire ? Il s'en est fallu de peu. Différentes sortes
d'instruments, pinces en tout genre, ont été essayées.
Matthieu a eu le dernier mot avec un fil électrique gainé
de plastique replié en forme de crochet.
L'aubépine se décide faiblement à fleurir.
En 92, le 28avril, pour la naissance de Yaël, j'en avais apporté
un énorme bouquet à la clinique de Marseille.
…Ma solitude me permet d'être auprès de mon âme. Et une chanson de Brassens me revient : "Auprès de mon arbre, je vivais heureux ! J'aurais jamais du…"
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de Marc"
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