Les grands moments ?
Pour moi, bien sûr, ça été d'abord le concert
d'ouverture du jeudi 2 août puisque j'y participais. Nous avons présenté
(200 choristes avec orchestre) le Te Deum des fanfares de Pelegrin. Nous
étions bien préparés et nous avons eu l'impression
d'avoir bien chanté. Pourtant le lendemain, en déjeunant
avec des spectateurs qui n'avaient pas repéré qui nous étions,
ces derniers ont avoué qu'ils s'étaient ennuyés…
(cliquez)
Les chœurs "ouverts" dans lesquels nous avons pu apprendre au moins trois
chants par jour ; sans compter les animations de milieu de journée
surtout destinées aux jeunes et aux "passagers".
L'atelier "Un jour, un chef" était une façon toujours
intéressante de découvrir des œuvres de genres variés
et dirigés par des personnalités différentes.
Parmi les représentations au théâtre antique je
retiendrai, s'il faut choisir, l'ensemble Caliope (un chœur de femmes)
qui a présenté les fables de La Fontaine, parlées,
chantées et dansées magistralement.
Le dernier soir était inoubliable d'une certaine façon
: tant par les super productions travaillées par nos camarades de
chœur pendant les huit jours que par les conditions climatiques exceptionnelles
: déjà la veille, le concert avait été interrompu
au beau milieu par la pluie ; Vendredi c'était un Mistral violent
qui a saboté la soirée de clôture. En grelottant nous
avons subi le pensum "Liverpool oratorio" de P M Cartney (sans traduction
ni mode d'emploi). |