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![]() " Tous fliqués ! " * Totalitarisme * Autour des émails * mondialisation * mondialisation toujours * Economie Internet et Fièvre aphteuse *
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Voir l'article bien sarcastique à propos d' :"Internet"
J'ai voulu insérer l'édito dans mes dossiers...
et l'ai retrouvé sur Charlie Hebdo... Bravo à Philippe
Vallée ! Du grand style mais "légèrement" caricatural.
Date : 09/03/01
NOUVELLE VERSION INTERNET EXPLORER <<
Chers amis. Lisez ce message et agissez vite.
Il a été envoyé par un professionnel et cher ami pour assurer à Internet Explorer la place de programme le plus utilisé, les plus grandes compagnies du web, Microsoft et AOL, ont testé la version béta de ce programme. Quand vous enverrez cette lettre à vos copains, Microsoft va la contrôler pendant deux semaines. Microsoft vous payera $245 pour chaque personne à laquelle vous enverrez ce message. Microsoft payera $243 pour chaque lettre transférée, et pour chaque personne tierce qui recevra votre message, Microsoft payera $241. Dans deux semaines, Microsoft vous contactera par E-mail et vous enverra e-chèque. Au début j'avais des doutes, jusqu'à ce que deux semaines après avoir envoyé ce message j'ai reçu par poste électronique la communication et quelques jours après un chèque de $24800.00. Envoyez absolument le message avant que le test de la version bêta de Internet Explorer ne se termine.
Celui qui peut se permettre tout cela est Monsieur Bill Gates. Tous les frais de marketing sont à sa charge. Faites-le bien.
(Le tout accompagné de listes d'adresses... )
Ca y est, Guillame, j'ai réussi à faire connaissance avec ton fichier FW !
Tu dis :
<< ...Au début j'avais des doutes, jusqu'à ce que deux semaines après avoir envoyé ce message j'ai reçu par poste électronique la communication et quelques jours après un chèque de $24800.00...
Tu dois être très riche !
Je te la souhaite bonne et heureuse !
Date : 17/03/01
Tous fliqués ! " de Ignacio Ramonet
<< 1. - DOMESTIQUER L'INDIVIDU
Dans les sociétés occidentales modernes, les pressions conjuguées de l'individualisme et de la technologie ont progressivement donné naissance à un nouvel ordre, fondé sur la quête permanente de l'intimité de chacun par... tous. Un ordre tout à la fois marchand - il s'agit de vendre et d'exploiter, non plus seulement la force de travail, mais l'affectif - et policier, qui consacre un contrôle social diffus et généralisé. Sous des traits parfois bonhommes, il exige de chacun l'abdication de son autonomie.
Qu'en pensez vous ?
Pour moi, je rejoindrais facilement ce point de vue.
Et je me vois dans une dynamique différente. Le marché ne m'intéresse pas et je déteste la dépendance. ( par exemple : c'est une corvée pour moi de mettre la ceinture de sécurité quand je monte dans la voiture, je ne crois pas à ce genre de sécurité.)
Je souhaite du fond du coeur l'abandon des préjugés
et l'accès à l'autonomie pour chacun. Je travaille dans ce
sens avec mes modestes moyens.
(Denis Masson) : Cher Marc,
Une fois de plus, je t'écris pour t'indiquer un désaccord. J'ai un peu hésité, car je ne veux par prendre la position du perpétuel contradicteur. Cependant, je te sais suffisamment ouvert pour ne pas t'offusquer d'une petite controverse de plus.
J'en viens au fait.
Au cours de la dernière quinzaine, tu as exprimé la gêne que te procure l'obligation de mettre ta ceinture de sécurité en voiture. Tu as alors évoqué une éventuelle dérive totalitaire de la société. Je crois que tu mélanges deux débats différents.
I/ Sur l'obligation du port de la ceinture
Il s'agit d'une réglementation contraignante visant à assurer une meilleure sécurité. Elle a de ceci de particulier qu'elle ne vise pas à protéger autrui, mais uniquement la personne même à qui elle s'impose. Dès lors la limitation de la liberté individuelle qu'elle entraîne n'est pas justifiée par l'exercice par autrui d'une liberté concurrente de même importance (en l'occurrence celle de circuler en sécurité). Et c'est en ceci que cette obligation est contestable et mal ressentie.
En effet, l'individu responsable n'exerce-t-il pas sa liberté fondamentale en faisant des choix et en en assumant les conséquences ? Dès lors que ces conséquences ne s'appliquent qu'à lui-même, est-il légitime d'édicter une interdiction ? Est-il raisonnable de vouloir faire le bonheur des gens malgré eux ?
Je déplore avec toi une évolution surréaliste de la société qui tend à nier de plus en plus le risque inhérent à la vie. Cela déresponsabilise l'individu et réduit la gamme des choix qui lui sont offerts. Les effets pervers sont légions. J'en prends un exemple qui m'a particulièrement frappé, celui des sociétés HLM qui enlèvent les jeux d'enfants dans les cités car en cas d'accident, elles peuvent être poursuivies par les parents, même si le matériel concerné était correctement entretenu. Bref, on refuse d'accepter le fait naturel qu'un enfant qui joue dehors risque de se faire mal. Résultats : il n'y a plus de jeux d'enfants dans les cités, les jeunes "zonent" un peu plus tôt, ce qui participent à la dégradation physique et symbolique des lieux et à leur ghettoïsation.
Je suis donc d'accord avec toi pour affirmer que le risque fait partie de la vie, et que le comportement de chacun devant ce risque relève fondamentalement de la liberté individuelle, pour autant évidemment qu'il ne porte pas atteinte à la liberté d'autrui.
Mais pour en revenir à l'obligation du port de la ceinture de sécurité, il nous faut examiner le contexte pour trouver la motivation du Législateur et tenter d'être complet sur la question. Or, il se trouve que nous vivons dans une société qui nous assure pour l'essentiel une couverture sociale publique et collective. Le comportement de chacun peut donc avoir des conséquences financières sur la collectivité. Par conséquent, cette dernière est fondée à s'intéresser à certains choix individuels.
Certes, on peut imaginer une organisation sociale complètement différente, où la couverture sociale serait entièrement privée et déréglementée. Les sociétés d'assurances offriraient des tarifs différents en fonction des déclarations des assurés (ceinture ou non). Certains questionnaires de ce type circulent déjà sur d'autres problèmes (pour la séropositivité par exemple, ils sont aujourd'hui interdits...). Naturellement, les compagnies d'assurances tenteraient par tous les moyens de désengager leur responsabilité en cas de sinistre. En cas d'oubli, même occasionnel de la ceinture, elles refuseraient d'assumer le risque ; cela signifie des dettes pour le paiement du séjour en hôpital, l'absence de revenu d'invalidité et d'aide financière pour tierce personne...
Mais si l'on accepte le système actuel, le débat, celui que tu me parais poser par ta réflexion sur la ceinture, consiste à savoir quel est le degré d'implication souhaitable de la société dans nos choix individuels.
Aucune des réponses extrêmes ne me semble appropriée. La société ne saurait tout régenter. Et d'un autre côté, il est normal de lui accorder un droit de regard si on lui demande de mutualiser les risques et de gérer le dispositif pour notre compte. Entre ces deux extrêmes, bien des solutions sont possibles. La question est de savoir où l'on positionne le curseur. Dès lors, on peut être en désaccord avec la solution retenue, sans pour autant nier le droit à la société de procéder à une certaine régulation.
L'obligation du port de la ceinture fait-elle partie, oui ou non, de ces issues possibles et légitimes ? Là commence la discussion.
II/ Sur le totalitarisme
Je serai plus court.
Le totalitarisme me paraît caractérisé par une volonté sociale systématique de contrôler la personne humaine et de lui supprimer son individualité. Les moyens utilisés sont notamment (j'en oublie sûrement) l'enrégimentement, la négation de la dignité humaine, la délation, l'humiliation et l'arbitraire.
Il vient immédiatement à l'esprit que si l'obligation de porter la ceinture de sécurité est l'émanation d'une volonté sociale, et que cette dernière procède à certains contrôles, elle ne relève pas d'un plan systématique pour supprimer l'individualité humaine. En outre, l'existence d'une règle, par nature imparfaite, ne signifie pas arbitraire, et le seul port contraint de la ceinture ne te fait pas perdre tout sentiment d'appartenance à l'espèce humaine.
Pour le reste, je te renvoie aux grands auteurs : Hannah ARENDT, Artur LONDON, Primo LEVY, George ORWELL,... voire tout simplement au Journal d'Anne FRANK ou à l'oeuvre d'Art SPIEGELMAN.
On est bien loin de ton petit problème de ceinture de sécurité,
non ?
"blind copy"
Date : 02/03/01 De Jean-Phi
<< ... Je te demande, donc, à partir de maintenant, de ne m'envoyer que des mails avec mon nom affiché et plus en blind copy. OK ?
….Le plus souvent je ventile, (en "blind copy" toujours, de façon à ne pas importuner les destinataires d'une liste de correspondants dont ils n'ont rien à faire sinon éventuellement un mauvais usage) des informations qui me touchent et qui sont autant d'invitations à communiquer.
francoischirokoff@minitel.net a écrit :
alors la,je suis bien d'accord! qu'on me foute la paix avec des ceusses que je ne connais ni d'eve ni des dents!
chiro-l'anar
et georges.magnier@freesbee.fr a écrit :
<< J'approuve l'envoi en copie cachée car c'est l'une des
préventions du "spammage" et des attaques virales.
c'est amusant de savoir à qui tu envoies tes courriers, mais
pas obligatoire. On n'a jamais vu quelqu'un recevant un papier par la poste
exigeant de connaître tous les destinataires...
allez, salut, Marc
( Le sujet est présenté dans la rubrique "Dossiers")
Date : 30/03/01 A propos du livre : Le Procès de la mondialisation (Fayard)
La croissance au prix fort
<< Chaque fois que homme croit qu'un destin automatique peut le dispenser de responsabilité et de solidarité pour construire l'humanité, est mûr pour le totalitarisme. Celui qui nous menace n'a plus la face hideuse d'un tyran nationaliste hurlant sa haine ou celle de potentats cachant leur perversion derrière un soi-disant socialisme scientifique. Il a le look lisse d'un présentateur de télévision invitant à se réjouir des succès à la bourse mais oubliant d'en expliquer le coût humain la distinction de prédateurs financiers jouant des rnillions d'existences humaines sur des coups spéculatifs de quelques jours et serine la rengaine cent fois répétée qu'il s'agit de la "seule politique possible"...
...Comment changer de direction ?
L'essentiel des propositions vise à passer de la dépendance mondiale à l'interdépendance locale en revivifiant les communautés, en retrouvant de l'échange local et d'abord l'indépendance alimentaire confisquée par le système mondial à de nombreux pays.
Voir aussi : dossier
Sida (actualisé)
Risques face au SIDA
Merci Denis des articles de presse que j'ai reçus ce matin par la poste.
Curieux, je suis intéressé par la question.
C'est en effet un bon complément d'information que j'ajouterais bien aux pages que j'ai mises en place sur le Sida. Pourtant je ne pense pas susciter un engouement particulier sur le sujet.
Le combat contre les laboratoires pharmaceutiques qui freinent la diffusion des médicaments génériques pour des questions de profits au détriment des pays sous développés me paraît plus mobilisateur. A + !
Date : 01/04/01 DeniMasson a écrit :
<< Cela dit,... accompagné d'un si court commentaire, me fait m'interroger sur ta démarche. Manifestement, tu souhaites (et réussis à) provoquer des réactions. Mais toi-même, tu ne réagis pas sur le fond. Pourquoi ? Quel type de dialogue cherches-tu à instaurer ?
Je vais m'expliquer.
1- Je prends beaucoup d'intérêt et de plaisir à communiquer avec toi. D'utiliser la messagerie pour ce faire me convient tout à fait.
2- Je suis curieux des divers fonctionnements humains et particulièrement des rapports entre le Politique et l'économie. Pourtant je me considère comme un amateur sinon un néophyte mais je voudrais promouvoir l'évolution et le respect de l'humain . (La dernière pétition "de Médecins sans frontières" est une action qui me semble adéquate)
Je trouve super de pouvoir prendre ma place dans la défense de mes idées et en débattre grâce à Internet.
J'ai en mains le livre de Philippe Frémeaux aux éditions
Syros "Sortir du piège ou la gauche face à la mondialisation".
Je l'ai parcouru et le trouve bien fait. Maintenant je ne sais pas trop
quoi en penser bien qu'il semble aller dans le sens de mes idées.
Economie Internet et Fièvre aphteuse
les 35 heures
Je suppose que vous avez reçu ce questionnaire fort pertinent.
voilà la nouvelle enquête réalisée par de hauts fonctionnaires sur les 35 heures
... et bon poisson d'avril !
<< 1. j'ai bien reçu ton mail du 1 avril. Je l'ai supprimé sans ouvrir la pièce jointe car je n'ouvre jamais de fichier EXE que je n'aie pas demandé expressément; pour des raisons de protection contre les virus.
Je crois que celui ci tu peux (ou tu aurais pu) l'ouvrir sans crainte il est facile à charger et humoristique genre "Canard enchaîné" Je vais le coller sur une de mes pages.
<< par exemple, annoncer par mail normalement court qu'un super fichier un peu long est disponible sur ton site à telle adresse ? iraient le chercher ceux que celà intéresse.
Voici une bonne idée ! Je tâcherai d'en tenir compte.
Comment vis-tu cette hécatombe de moutons sains ?
moi, très mal. Plutôt que de soigner quelques bêtes d'une fièvre aphteuse bénigne, on préfère supprimer tout le troupeau et verser une indemnisation à l'éleveur....
folie. folie de technocrates complètement coupés de la Vie.
Considérer les animaux comme "rien" ce sont quand même nos "cousins".... au moins nos compagnons sur cette petite boule verte.
pour le fric.... pour les actionnaires des multinationales de l'agro-industrie.
épuration....épuration de la race moutonne....tristes échos
Je trouve que la société qui agit ainsi est très malade de par son manque de lucidité et de sagesse...
Bonsoir
La fièvre aphteuse expliquée à ma fille.
Dis, Papa, si un jour j’attrape des aphtes et de la fièvre, tu m’abats avec tout le troupeau et tu me fais brûler sur un bûcher?
— Ah! ah! ah! quelle drôle d’idée! Tu n’es pas un mouton, ni une vache, ni un cochon!
— Mais je ne veux pas mourir dans d’atroces douleurs à cause de la fièvre aphteuse...
— Voyons on n’en meurt pas. On en guérit même très facilement.
— Même les bêtes?
— Bien sûr. Comme elles ne peuvent plus manger pendant quelques jours, elles maigrissent, donnent moins de lait, mais une fois traitées à coups de bleu de méthylène ou de chlorure de magnésium elles se remettent à peu près sur pied.
— Pourquoi les tuer, alors?
— Parce qu’elles ne sont plus exportables, et ça c’est pire que tout. L’important, pour un animal, c’est de pouvoir être ex-por-té.
— Et si on les vaccinait ?
— Ne parle pas de malheur! Les bêtes vaccinées, on ne peut pas les exporter non plus Elles sont considérées comme infectées, puisqu’elles ont été en contact avec le virus. C’est d’ailleurs pour cette raison que la France, après avoir vacciné pendant trente ans, entre 1962 et 1991, a fini par s’en abstenir. Elle est entrée dans le club très sélect des pays indemnes de fièvre aphteuse, ceux qui peuvent exporter l’Europe, l’Amérique du Nord, l’Argentine, l’Australie, l’Indonésie et le Japon. Le reste du monde est resté très arriéré la fièvre aphteuse y est endémique ou sporadique, du coup ils s’achètent leurs bêtes entre eux.
— Et ils ne les tuent pas quand elles tombent malades ?
— Non, ils attendent qu’elles se rétablissent. De vrais sauvages.
— Ils n’exportent pas, eux.
— Tu as tout compris.
— Ça rapporte tant que ça, l’exportation ?
— L’Inra a calculé qu’une semaine d’embargo fait perdre à l’économie française entre 82 et 370 millions de francs.
— La vache! Mais, dis-moi, 53 000 bêtes zigouillées en France, et 750 000 en Angleterre, c’est quand même énorme, non?
— Pas trop. Le manque à gagner n’est encore que de...
— Non, je voulais dire c’est choquant.
— Il y a deux ans, la Hollande a massacré 9826 000 cochons pour cause de peste porcine, et personne n’a râlé. Quand on fait ça discrètement, à l’abattoir, ça ne choque personne.
— Quand même, pour l’éleveur, ça doit être dur. J’en ai vu certains pleurer à la télé...
— Oublie tout ce qu’on t’a raconté dans les livres pour enfants sur la ferme à l’ancienne et l’éleveur qui connaît les vaches par leur prénom. Les derniers spécimens de ce type sont condamnés par l’Histoire. Pour le véritable éleveur d’aujourd’hui, la bidoche est une matière première, rien de plus, au même titre que, je ne sais pas, moi, le fioul ou le tourteau de soja. Est-ce qu’on fait du sentiment avec les tourteaux de soja ? Les éleveurs pleurent parce que la prime est faible — 500 F pour le mouton, 5 000 F pour la vache — et qu’ils y perdent des sous. José Bové ne dit pas autre chose.
— Me voilà rassurée.
— Maintenant, va jouer avec ton chat, ton chien et tes hamsters vaccinés.
FRANCFORT (Allemagne) - Une trentaine de moutons d'un élevage près de Giessen (ouest) dans lequel un symptôme de fièvre aphteuse a été diagnostiqué ont été abattus dans la nuit de mardi à mercredi. Un premier cas de "soupçon grave" de fièvre aphteuse en Allemagne, décelé mardi dans l'Etat régional de Rhénanie du Nord-Westphalie (nord-ouest), n'avait finalement pas été confirmé, selon un porte-parole du ministère de l'Agriculture de ce Land. UE-élevage
--- FIEVRE APHTEUSE : PROLONGATION DES EMBARGOS EUROPEENS. Alors que le cap des 1.000 foyers a été atteint en Grande-Bretagne, l'Union européenne a de nouveau prolongé hier les embargos contre le Royaume Uni et les Pays-Bas pour tenter d'endiguer l'épizootie de fièvre aphteuse. Si le danger semble s'éloigner de la France, où toutes les restrictions pourraient bientôt être levées, la maladie se rapproche désormais de l'Allemagne.
+ Réuni pour la 10ème fois à Bruxelles depuis le début de l'épizootie, le Comité vétérinaire permanent a prolongé d'un mois, jusqu'au 18 mai, l'embargo sur le bétail vivant, la viande, le lait et tous les produits dérivés non traités, décrété contre la Grande-Bretagne.
+ Dans ce pays, où le premier cas a été découvert le 19 février, le cap des 1.000 foyers a été dépassé mercredi. Le gouvernement a néanmoins fait état pour la première fois de "signes positifs" et renoncé provisoirement à la vaccination des vaches laitières dans les régions les plus touchées.
+ Sept semaines après l'apparition de la maladie, plus d'un million de bêtes ont été abattues ou sont en passe de l'être en Grande-Bretagne.
GB-élevage 20 04 01 LONDRES
- La politique gouvernementale d'abattage massif pour endiguer l'épidémie de fièvre aphteuse se révèle "un succès", a affirmé vendredi le ministre britannique de la Défense Geoff Hoon.
Tout est pour le mieux ! ?