(cliquez)
(cliquez) Je
connais "Diagne", le sénégalais, depuis une bonne dizaine
d'années, alors qu'il avait pris pension ici dans une chambre d'étudiant,
pour préparer un doctorat en droit.
Il a apprécié l'accueil et m'a demandé à plusieurs reprises, ensuite, d'en bénéficier. Lors d'un voyage dans son pays en 96 il était notre cicérone. Avec plaisir et grand intérêt j'ai pu faire connaissance en profondeur de tout son entourage. Après son séjour ici en octobre 00 et en réponse à son fax, je lui écris. |
15/11/00 Cher Mayacine
J'ai été vraiment comblé par ta lettre faxée du 04 11 dernier. Je te remercie de toutes tes bonnes pensées et attentions. Elles me confortent dans l'idée que notre rencontre qui date maintenant de plus de dix ans était un grand moment de l'histoire de nos deux pays… Je regrette un peu que ta démarche auprès de Geneviève n'ait pas été couronnée de succès. Elle m'a enfin écrit pour me confirmer qu'elle ne souhaitait pas du tout dialoguer et que la "dualité" qu'elle a vécu pendant notre relation lui a paru bien lourde. Elle se trouve beaucoup mieux maintenant…Je tire donc un trait... J'ai réalisé une page Internet sur toi que j'ai reliée au voyage de 1996 chez vous. En voici les coordonnées sur Internet : http://www.multimania.com/davescoub/co/Mayacine/maya1.htm J'espère que tu pourras y voir les photos prises lors de ton dernier séjour ; il y a même le message que tu as laissé sur mon répondeur. Mon bon souvenir à toute ta famille et à …bientôt ! |
 mayacinediagne2002@yahoo.fr a écrit : "bien des choses à la famille de l'escoubaire.mayacine" le 27/11/01
Je suis flatté de lire tout ce que tu dis penser de moi. Crois bien que tu gardes toute mon amitié mais sans jouer à l'histoire de la fable de La Fontaine 'le Corbeau et le Renard" (bM) |
Le 27/11/01 << il est vrai que je n'ai pas respecté mes engagements mais je ne veux surtout pas que cet emprunt assombrisse nos relations amicales surtout lorsqu'on sait que j'ai une envie folle de sejourner dans cet endroit paradisiaque que l'on appelle l'Escoubaire.mon très cher MARC,n'oublie sourtout pas que je t'ai toujours considéré comme un de mes plus illustres bienfaiteurs et ceci, je ne l'oublierai jamais. Cette notion de bienfaiteur n'est pas un mot de trop pour moi parce que je comprends pourquoi tu as toujours ete un homme genereux et serviable envers les autres.ceci est vrai jusque dans le metier que tu exerces. En effet, par la kinesie, tu offres une quietude morale et mentale plus saine à tes patients. Très cher marc j'ai bien reçu ton fax me réclamant le reste de la somme. Tout ces temps ci tu n'a pas reçu de mes nouvelles : j'avais voyagé pendant longtemps pour affaire au cameroun.mais j'étais surtout confronté à la construction d'une villa sur le terrain dont une partie de la somme que tu m'avais prétée m'avait permis de réaliser un de mes plus vieux rêve:avoir une maison bien à moi. Je suis loin d'oublier le service que tu m'a rendu.les difficultés de la vie au Sénégal et l'obsession que j'ai pour réaliser cette maison constituent les contraites matérielles qui m'ont empêché d'honorer malgrè moi tous les deux engagements qui me lient à toi. Dans tous les cas je peux t'assurer que je t'enverrai vers la fin mars 2002 un second règlement parce que j'attends qu'on me paie des émoluments pour une etude que j'avais faite pour une societe de la place. bien des choses à la famille de l'escoubaire.mayacine >> |
En Octobre 2000
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